La section de basket-ball du CS Constantine (Super-Division A) pourrait déclarer forfait général pour le reste du championnat si ses dirigeants ne parviennent pas à résoudre les problèmes financiers qui l’asphyxient, a-t-on appris, samedi passé, de source sûre. Les basketteurs du CSC qui devaient affronter, vendredi dernier à Oran, l’OMC Khemis-Miliana en quart de finale de la Coupe d’Algérie, sont restés à Constantine, rappelle-t-on.
Interrogé par l’APS à ce sujet, le capitaine d’équipe, l’international Abdelhalim Kaouane a déclaré que les difficultés sont apparues lorsque la formation constantinoise est passée du statut professionnel au statut amateur. Les choses se sont aujourd’hui «compliquées à telle enseigne que les joueurs n’ont pas perçu leur salaire depuis 8 mois et ne peuvent maintenir le cap sachant que la majeure partie de l’ossature réside en dehors de Constantine, voire, pour certains éléments, en dehors du territoire national», a souligné Kaouane. Le capitaine du «cinq» constantinois va plus loin en affirmant que le club, appelé à défendre sa place parmi l’élite lors du tournoi play-down prévu le 1er mai prochain, «ne pourra en aucun cas évoluer avec un moral aussi bas». Pour lui, «tout semble réuni pour entériner l’acte de décès du club et avec lui le basket-ball constantinois».
Créée sous l’appellation CS Mansourah en 2004, pour devenir CS Constantine à l’aube de la saison 2013-2014, l’équipe du vieux Rocher a réussi à défrayer la chronique en peu de temps et permis au basket constantinois de retrouver ses lettres de noblesses, en décrochant le titre de champion (2013-2014) et en disputant deux finales de Coupe d’Algérie consécutives (2013 et 2014). Le fait marquant reste sa qualification pour le championnat d’Afrique des clubs, disputé à Tunis en 2013, où le CSC s’était classé 5e parmi le gotha des clubs africains, alors qu’aucun club algérien n’était parvenu à ce stade de la compétition en 20 ans
Interrogé par l’APS à ce sujet, le capitaine d’équipe, l’international Abdelhalim Kaouane a déclaré que les difficultés sont apparues lorsque la formation constantinoise est passée du statut professionnel au statut amateur. Les choses se sont aujourd’hui «compliquées à telle enseigne que les joueurs n’ont pas perçu leur salaire depuis 8 mois et ne peuvent maintenir le cap sachant que la majeure partie de l’ossature réside en dehors de Constantine, voire, pour certains éléments, en dehors du territoire national», a souligné Kaouane. Le capitaine du «cinq» constantinois va plus loin en affirmant que le club, appelé à défendre sa place parmi l’élite lors du tournoi play-down prévu le 1er mai prochain, «ne pourra en aucun cas évoluer avec un moral aussi bas». Pour lui, «tout semble réuni pour entériner l’acte de décès du club et avec lui le basket-ball constantinois».
Créée sous l’appellation CS Mansourah en 2004, pour devenir CS Constantine à l’aube de la saison 2013-2014, l’équipe du vieux Rocher a réussi à défrayer la chronique en peu de temps et permis au basket constantinois de retrouver ses lettres de noblesses, en décrochant le titre de champion (2013-2014) et en disputant deux finales de Coupe d’Algérie consécutives (2013 et 2014). Le fait marquant reste sa qualification pour le championnat d’Afrique des clubs, disputé à Tunis en 2013, où le CSC s’était classé 5e parmi le gotha des clubs africains, alors qu’aucun club algérien n’était parvenu à ce stade de la compétition en 20 ans