L’obligation de gagner !
La victoire dans l’acte 1 est la clef pour le titre de champion. Un «big match» en vue !
Tout à l’heure, 24 joueurs et deux entraîneurs rentreront sur le parquet de la la salle de Radès pour donner le coup d’envoi à une série d’au moins deux matches qui pourraient désigner le champion de Tunisie 2015. A moins que l’on fasse recours à un match d’appui. Cinq joueurs de part et d’autre auront, sur les 40’ du match (voire plus), la lourde responsabilité d’appliquer les plans du jeu et de faire plaisir à leurs fans. L’ESR et le CA seront les deux acteurs d’une finale qui s’annonce palpitante et équilibrée. A Radès, comme à Bab Jedid, on ne sera satisfait que s’il y a consécration. Deux équipes aux parcours différents, aux arguments distincts aussi, mais qui se présentent avec un point commun : l’envie de bien terminer la saison et de se proclamer champion de Tunisie. Les détails techniques, les détails «humains» trancheraient pour l’un ou pour l’autre, mais une chose est sûre, l’ESR et le CA joueront deux et peut-être trois matches aux conséquences lourdes. A commencer par celui de cet après-midi. Celui qui gagnera ne sera pas champion, mais avancera sur ce chemin. Autrement dit, le vaincu aura une lourde pression lors de la seconde rencontre, choc qui devrait arranger le vainqueur du premier match; ce n’est pas la peine de vous décrire l’ambiance de la salle de Radès tout à l’heure, avec un public radésien toujours là pour pousser ses joueurs et pour ressusciter les gloires du passé et l’aura d’une ESR qui a dominé le championnat durant des années. Face à cette tradition de l’ESR, il y a le métier d’un CA qui a rejoint le palier des grands depuis 15 ans pour gagner les titres. Au CA, on a tant investi sur l’équipe de basket, en ramenant des «stars» (politique de Slim Riahi) qui ont pu rafler le doublé l’année dernière et qui sont passés, cette année, par des moments pénibles, avant de retrouver l’équilibre en fin de saison.
Duels
ESR-CA sera donc chaud à l’image des duels musclés entre les joueurs des deux camps, H’didane, Kenioua, Justice, El Mabrouk, Dhifallah, Ezzahi, Chouya, d’un côté; Kechrid, Abada, Maghrebi, Senoussi, Mattews, Abassi, Smaâli, de l’autre côté, joueront le match de la saison, se livreront des duels acharnés et impitoyables.
Sur le banc des remplaçants, les deux chefs d’orchestre Predrag et Gavriel, deux entraîneurs compétents et qui ont gagné auparavant le titre de champion en Tunisie, devront varier leurs plans de jeu. Défenses agressives, avancées, et jeu rapide de transition, sans oublier les écrans et les mouvements pour libérer les pointeurs à trois points, on verra beaucoup de «tactique», ou verra beaucoup de ténacité et d’émulation. Les deux équipes sont les meilleures cette année, elles terminent la saison avec l’obligation de ne pas sortir les mains vides. L’ESR n’a que la finale du championnat pour espérer triompher, le CA joue sur deux fronts.
Tout à l’heure, 24 joueurs et deux entraîneurs rentreront sur le parquet de la la salle de Radès pour donner le coup d’envoi à une série d’au moins deux matches qui pourraient désigner le champion de Tunisie 2015. A moins que l’on fasse recours à un match d’appui. Cinq joueurs de part et d’autre auront, sur les 40’ du match (voire plus), la lourde responsabilité d’appliquer les plans du jeu et de faire plaisir à leurs fans. L’ESR et le CA seront les deux acteurs d’une finale qui s’annonce palpitante et équilibrée. A Radès, comme à Bab Jedid, on ne sera satisfait que s’il y a consécration. Deux équipes aux parcours différents, aux arguments distincts aussi, mais qui se présentent avec un point commun : l’envie de bien terminer la saison et de se proclamer champion de Tunisie. Les détails techniques, les détails «humains» trancheraient pour l’un ou pour l’autre, mais une chose est sûre, l’ESR et le CA joueront deux et peut-être trois matches aux conséquences lourdes. A commencer par celui de cet après-midi. Celui qui gagnera ne sera pas champion, mais avancera sur ce chemin. Autrement dit, le vaincu aura une lourde pression lors de la seconde rencontre, choc qui devrait arranger le vainqueur du premier match; ce n’est pas la peine de vous décrire l’ambiance de la salle de Radès tout à l’heure, avec un public radésien toujours là pour pousser ses joueurs et pour ressusciter les gloires du passé et l’aura d’une ESR qui a dominé le championnat durant des années. Face à cette tradition de l’ESR, il y a le métier d’un CA qui a rejoint le palier des grands depuis 15 ans pour gagner les titres. Au CA, on a tant investi sur l’équipe de basket, en ramenant des «stars» (politique de Slim Riahi) qui ont pu rafler le doublé l’année dernière et qui sont passés, cette année, par des moments pénibles, avant de retrouver l’équilibre en fin de saison.
Duels
ESR-CA sera donc chaud à l’image des duels musclés entre les joueurs des deux camps, H’didane, Kenioua, Justice, El Mabrouk, Dhifallah, Ezzahi, Chouya, d’un côté; Kechrid, Abada, Maghrebi, Senoussi, Mattews, Abassi, Smaâli, de l’autre côté, joueront le match de la saison, se livreront des duels acharnés et impitoyables.
Sur le banc des remplaçants, les deux chefs d’orchestre Predrag et Gavriel, deux entraîneurs compétents et qui ont gagné auparavant le titre de champion en Tunisie, devront varier leurs plans de jeu. Défenses agressives, avancées, et jeu rapide de transition, sans oublier les écrans et les mouvements pour libérer les pointeurs à trois points, on verra beaucoup de «tactique», ou verra beaucoup de ténacité et d’émulation. Les deux équipes sont les meilleures cette année, elles terminent la saison avec l’obligation de ne pas sortir les mains vides. L’ESR n’a que la finale du championnat pour espérer triompher, le CA joue sur deux fronts.